Les gants : en cuir ou matière assimilable, ils sont uniformément rembourrés de crin.Ils doivent peser entre 6 et 12 onces (171 et 342 g) selon les catégories et comporter une double manchette protégeant intégralement le poignet et le début de l’avant-bras (environ 10 cm). Tout tireur a le droit de mettre des bandages aux mains. Ils doivent être constitués uniquement par des bandes chirurgicales, genre crêpe Velpeau de 2 m de longueur par 4 cm de largeur. Les chaussures : elle sont une tige et une empeigne faites en matière très souple (cuir ou peau). La semelle, rigide sans être dure, d’une épaisseur de 2 à 5 mm environ est plate sans talon ni talonnette, non débordante et peut recouvrir le bord interne du 1/3 avant du pied sur environ 2 cm. La fermeture se fait par des lacets sans extrémités dures ni œillets et dont le nœud doit se situer derrière la tige. Il est recommandé de protéger le laçage par du chatterton. La tige semi-longue arrive au niveau supérieur des malléoles. L’extrémité avant de l’empeigne est aussi arrondie que possible et est matelassée d’une mince couche interne de latex. Une même couche protectrice double intérieurement toute la chaussure. La tenue : une tenue intégrale, constituée par un ensemble,
sans manches, d’une seule pièce recouvrant les jambes et le buste est exigée
pour la participation à toutes les manifestations de boxe française (rencontres,
démonstrations, stages, examens). Le ring : c’est un carré de 6 m de côté maximum et de 4,90 m de côté minimum. Il est entourée de trois rangs de cordes en chanvre ayant au minimum 2 cm et au maximum 3 cm de diamètre et entourées d’étoffe ou de plastique. Les cordes doivent être au minimum à 0,30 m des poteaux et les coins rembourrés de la base au sommet par un coussin de cordes de protection. |